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Il s’implique dans les crises en Libye et au Mali

Lamamra s’attaque aux groupes terroristes


16 Juillet 2014 | 10:47
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A quelques jours d’intervalle, le ministre des Affaires étrangères algérien, Ramtane Lamamra, s’est épuisé à contribuer à la résolution des crises sécuritaires en Libye et au Mali, deux pays frontaliers de l’Algérie et qui ont subi les retombées de la chute de l’ancien régime libyen.


Auteur : Hamid Salhi


Lamamra n’hésite pas à s’adonner à un langage direct très explicite sur son rôle en Libye d’abord à propos duquel une réunion a eu lieu avant-hier puis sur le Mali à propos duquel une rencontre qui se tient aujourd’hui, 16 juillet.

Lamamra est conscient que les pays voisins de la Libye ont un rôle direct dans la coopération avec les Libyens concernant le contrôle des frontières, la formation des services de sécurité et des unités de l'armée et l'intensification de la coopération en matière de renseignements.

Il n’est donc pas exclu que la même panoplie soit reconduite en ce qui concerne le Mali car l’Algérie n’a pas intérêt à ce que des émirats islamiques s’installent à ses frontières partageant ce souci avec d’autres pays comme l’Egypte ou encore la Cote d’Ivoire, eux aussi frontaliers de pays en proie à des assauts terroristes.

Dès ce mardi, le Comité bilatéral stratégique algéro-malien sur le Nord-Mali s’est réuni à Alger en présence de  Lamamra et de son homologue malien Abdoulaye Diop pour préparer le dialogue de ce mercredi entre les factions armées et le gouvernement.

Ce Comité stratégique algéro-malien est d’ailleurs un cadre de concertation entre les deux pays destiné notamment à trouver une solution à la crise que traverse le Mali.

Aujourd’hui, ce ne sera que la phase initiale du dialogue inter-malien en présence du gouvernement malien et des mouvements armées du Nord-Mali.

Lamamra a eu l’opportunité de préparer cette réunion depuis le 8 juillet dernier lorsqu’il s’est rendu dans trois pays africains, notamment au Ghana où il avait assisté au sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la communauté économique de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) pour chercher un appui à la vision algérienne pour le règlement politique du conflit.

Même les organisations internationales ont donné leur quitus à l’Algérie comme l’a fait le représentant spécial du secrétaire général de l’Organisation des Nations unis du Mali, Bert Koenders. Selon ce dernier, l’Algérie a un rôle très important à jouer pour aider à l’instauration de la paix et la reconstruction du Mali.

L’action de l’Algérie est aussi suivie par l’Union africaine dans la résolution des conflits dans les pays de la région, notamment au Mali.

Lamamra s’est rendu à Bamako, à Nouakchott et à Ouagadougou dans le cadre de la tenue des consultations et des contacts permanents avec les pays voisins de l’Algérie ou d’autres pays africains intéressés par la résolution des conflits au Mali et en Libye.

Lamamra n’hésite pas à s’adonner à un langage direct très explicite sur son rôle en Libye d’abord à propos duquel une réunion a eu lieu avant-hier puis sur le Mali à propos duquel une rencontre qui se tient aujourd’hui, 16 juillet.

Lamamra est conscient que les pays voisins de la Libye ont un rôle direct dans la coopération avec les Libyens concernant le contrôle des frontières, la formation des services de sécurité et des unités de l'armée et l'intensification de la coopération en matière de renseignements.

Il n’est donc pas exclu que la même panoplie soit reconduite en ce qui concerne le Mali car l’Algérie n’a pas intérêt à ce que des émirats islamiques s’installent à ses frontières partageant ce souci avec d’autres pays comme l’Egypte ou encore la Cote d’Ivoire, eux aussi frontaliers de pays en proie à des assauts terroristes.

Dès ce mardi, le Comité bilatéral stratégique algéro-malien sur le Nord-Mali s’est réuni à Alger en présence de  Lamamra et de son homologue malien Abdoulaye Diop pour préparer le dialogue de ce mercredi entre les factions armées et le gouvernement.

Ce Comité stratégique algéro-malien est d’ailleurs un cadre de concertation entre les deux pays destiné notamment à trouver une solution à la crise que traverse le Mali.

Aujourd’hui, ce ne sera que la phase initiale du dialogue inter-malien en présence du gouvernement malien et des mouvements armées du Nord-Mali.

Lamamra a eu l’opportunité de préparer cette réunion depuis le 8 juillet dernier lorsqu’il s’est rendu dans trois pays africains, notamment au Ghana où il avait assisté au sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la communauté économique de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) pour chercher un appui à la vision algérienne pour le règlement politique du conflit.

Même les organisations internationales ont donné leur quitus à l’Algérie comme l’a fait le représentant spécial du secrétaire général de l’Organisation des Nations unis du Mali, Bert Koenders. Selon ce dernier, l’Algérie a un rôle très important à jouer pour aider à l’instauration de la paix et la reconstruction du Mali.

L’action de l’Algérie est aussi suivie par l’Union africaine dans la résolution des conflits dans les pays de la région, notamment au Mali.

Lamamra s’est rendu à Bamako, à Nouakchott et à Ouagadougou dans le cadre de la tenue des consultations et des contacts permanents avec les pays voisins de l’Algérie ou d’autres pays africains intéressés par la résolution des conflits au Mali et en Libye.



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