Il chante le Prophète et ses disciples qu’il nomme un à un. « Tout ce qui est construit sur du solide / Ne peut d’effondré ». La religion conduit l’homme sur le bon chemin. Il poursuit avec « Ahessad verith wulis ».

Une chanson qui parle de l’égoïsme destructeur. Puis, c’est au grand public de proposer les chansons auxquelles  le chanteur réponds favorablement aux demandes de ses fans. Dans la chanson « Serigh ezin di Michelet » chantant la beauté de la femme, de la nature, la bonté du cœur , tout se mêle dans cette chanson très prisée et chantée en chœur.

Akli Yahiatène nous embarque pour un voyage où il nous fait une courte halte dans chaque village car ils sont très nombreux et méritent d’être visités tous. Des endroits, sites et monuments historiques, des personnalités, des personnages mystiques sont cités et vénérés, notamment à Michelet où la beauté de la femme kabyle est mise en relief par le chanteur. Il enchaîne avec « Athassekour el Kseur ». Pour lui El Kseur est une grande habitation qui renferme une beauté emprisonnée. « Tharemant ». La chanson « El Menfi » a littéralement relevé le mercure dans la salle. De nombreux jeunes la chantaient avec son auteur.

Le chanteur poursuit avec « A yakham ». Des chansons appréciées et applaudies. Elles touchent l’humanisme, la bonté de l’homme, la femme qu’il replace dans son contexte et qu’il glorifie, les maux sociaux qui ne cessent de se généraliser ici et ailleurs.