Il semblerait que les Algériens sont aujourd’hui plus qu’hier appelé à s’accommoder de ces secousses qui restent « modérées » et « normales », selon la définition qu’en donne le CRAAG.

D’autant qu’en cette ère de l’information rapide, même les secousses qui ne sont pas ressenties dans les régions qui entourent leurs épicentres, sont relayées.

Depuis le séisme qui a frappé Alger le 1er Août, celui qui vient d’être enregistré à Mostaganem fait partie des cinq secousses ressenties, parmi des centaines enregistrées. Dont deux à Alger qui sont des répliques du séisme du 1er Août.

Les deux autres sont des séismes de faibles magnitudes, même s’ils ont été ressentis par les habitants.  Chronologiquement, il s’agit de celui enregistré à 23 km au Nord-est Bouira le 15 Août (3.0 degrés sur l’échelle ouverte de Richter). Ainsi que celui enregistré à 19 Km au Nord-Est de Bejaia le 13 Août (3.8 degrés sur l’échelle ouverte de Richter).

 

Les catastrophes naturelles au programme de l’éducation nationale

 

Ainsi et face à la multiplication des catastrophes naturelles dont les séismes, ces dernières années, notamment par le fait de leurs médiatisations rapide, l’éducation nationale a décidé de lancer un cours inaugural s’y consacrant…  

Cette dernière lance donc à partir de cette rentrée scolaire fixée au 7 septembre prochain, un cours inaugurale consacré à la sensibilisation des élèves aux catastrophes naturelles et à leur initiation aux moyens de les appréhender, apprend-on du Premier ministère.

 

L’éducation nationale aura dans son programme, notamment à expliquer aux enfants ce phénomène avec lequel beaucoup d’enfants de par le monde apprennent à composer et adopter les gestes qui peuvent sauver. Les professeurs auront aussi la tâche de leur expliquer qu’il n’existe aucun rapport entre les séismes, le climat, et encore moins avec les bikinis sur les plages…